Dans mes spectacles, on assiste à des fragments de pièces, des essais et tentatives, qui sont confirmés ou analysés, dans la joie ou l’hébétude, par les personnages du spectacle eux-mêmes.
Le spectacle appartient à tout le monde, il n’y a pas d’idée de propriété intellectuelle figée.
L’idée c’est nous et Shakespeare, avec un prisme pictural, cinématographique, esthétique et psychique.
Nous sommes aussi dans une transformation accélérée du monde qui est terrorisante et la réponse à la terreur que l’on fait subir aux gens va probablement être aussi très brutale.
Quelle meilleure place y a-t-il qu’un grand festival de théâtre pour permettre à de jeunes adultes d’y interroger le monde ? En juillet...
Vous avez commencé par travailler sur L’Esthétique de la résistance en petits groupes, avec ce que vous avez appelé les « Conseils Arlequin...