La métaphore de la déconstruction du centre commercial, symbole de lieu de rencontre pour la jeunesse, est devenue, avec cette nouvelle série photographique, un cadre parfait pour parler de ce qui nous arrive aujourd’hui avec cette pandémie.
Le thème du spectacle, la langue d'Anne Sibran, la plongée de l'enfant sauvage dans le monde des "humains" : Julie Delille répond à notre...
C’est une écriture du silence. Ce qui n’est pas dit est le plus parlant. Le silence est pris dans la partition comme un son, une voix.
Les spectacles adressés au jeune public obligent à garder une forme d’espoir. Cela me plaît de faire en sorte que les gens soient chargés de bonnes ondes à la fin de la représentation.
C’est un spectacle qui parle du rapport à l’autre, de la diversité, de la solidarité, un spectacle de groupe très cosmopolite avec les couleurs des femmes, des hommes, des danseurs qui viennent de partout.
Dans l’époque que nous traversons, celle du slogan martelé en boucle, où il est difficile de penser par soi-même, l’écriture poétique est une forme de résistance