Aller au contenu principal
  • La Commune
  • MC93
  • Houdremont et la Maison des Jonglages
  • Théâtre Public de Montreuil
  • Centre National de la Danse
  • Théâtre Gérard Philipe
  • Espace 1789
  • Théâtre Louis Aragon
Paragraphes

Les chevaux mènent la danse. Ils guident le cortège et donnent le tempo de cette parade composée par la compagnie La Fauve et les jeunes montreuillois·ses, transformé·es pour certain·nes en cavalier·ères. Les émotions ressenties au contact de l’animal se transposent dans les mouvements de chacun·e et une joyeuse danse commune se déploie, entremêlant cadences et gestes.

Arthur Sidoroff porte la compagnie La Fauve qui place au centre de son travail la présence durable des chevaux sur les territoires urbains et auprès de ses habitant·es. Accompagné de Johnny, son cheval complice, l’acrobate de théâtre équestre fait toujours de la place à l’inattendu, à la douceur et à l’altérité dans ses créations.

portrait

« Broyant sous nos pieds la morosité des jours, laissons la danse prendre son envol, comme un éclat de rire. Sous le soleil, dansons ! »
C’est ainsi que Leïla Ka et Jane Fournier Dumet introduisent la Parade du tout monde. Poings fermés et coudes pliés, leurs gestes contraints performés à l’unisson par 150 jeunes de Saint-Ouen ont la puissance d’un uppercut.

Avec son premier et remarqué solo Pode Ser, Leïla Ka a conquis les scènes chorégraphiques. Au fil de ses créations, la jeune chorégraphe aux racines hip-hop a affirmé une signature qui lui est propre : une beauté brute, rageuse, intense. Interprète dans sa dernière pièce Maldonne, Jane Fournier Dumet rejoint Leïla Ka pour chorégraphier cette parade.

portrait

Franck Edmond Yao, dit Gadoukou La Star, imagine la musique, la mise en scène et la chorégraphie d’un défilé aussi fashion que sportif. Il réunit autour de lui huit danseur·ses internationaux qui – outre affoler les réseaux sociaux – forment et encadrent 150 amateur·ices : Eileen Nzup, la petite Zota, Barro Dancer, Yaps Jolito, Alaingo, Joel Tenda, Mishaa, Ordinateur Zoropoto.

Gadoukou La Star se forme au théâtre et à la danse à l’école Kingbok à Abidjan puis compose les chorégraphies de nombreuses stars ivoiriennes. Dès 2005, il entame une collaboration avec le collectif franco-allemand de la metteuse en scène Monika Gintersdorfer, qui l’a d’ailleurs accompagné pour penser ce défilé. En 2008, il sort son premier album de coupé-décalé.

Fichier vidéo

L’Olympisme n’est pas étranger à Pierre Rigal. L’ancien athlète de haut niveau renoue avec ses premiers amours en orchestrant une parade qui associe et amplifie des gestes bien connus, empruntés à la fois aux sports comme aux danses populaires. Sous la direction de Sébastien Forrester, un groupe de musicien·nes jouent des rythmes rassembleurs qui suscitent des unissons ou des fourmillements très vivants.

Pierre Rigal est passé par les mathématiques, l’économie, le cinéma et le 400 mètres haies avant de rencontrer la danse contemporaine. Ses chorégraphies souvent endurantes, risquées et efficaces, comme un sport, n’ont de cesse de sortir des cadres en fabriquant des ponts entre les disciplines du cirque, du hip-hop en passant par l’opéra et les arts visuels.

portrait

L’attention, le soin et l’empathie, ont traversé notre société lors de la crise sanitaire mais portent depuis longtemps le chorégraphe Thierry Thieû Niang qui emmène la danse dans les espaces de santé et d’accompagnement. Les jeunes en situation de handicap de l’IME ¬– Le Tremplin à Bobigny transmettent la beauté de leurs gestes aux étudiant·es en STAPS et à la classe Prépa’ Théâtre 93. Ou quand d’autres corps fabriquent d’autres danses.

En France et à l’étranger, avec des interprètes professionnel·les et amateur·rices, jeunes ou séniors, dans les lieux d’art comme les espaces non dédiés, croisant danse, théâtre, musique, arts visuels et littérature, Thierry Thieû Niang fait de la transversalité sa matière première. Son travail avec des patient·es en gériatrie a été immortalisé dans un film salué par la critique.

portrait

L’attention, le soin et l’empathie, ont traversé notre société lors de la crise sanitaire mais portent depuis longtemps le chorégraphe Thierry Thieû Niang qui emmène la danse dans les espaces de santé et d’accompagnement. Les jeunes en situation de handicap de l’IME ¬– Le Tremplin à Bobigny transmettent la beauté de leurs gestes aux étudiant·es en STAPS et à la classe Prépa’ Théâtre 93. Ou quand d’autres corps fabriquent d’autres danses.

En France et à l’étranger, avec des interprètes professionnel·les et amateur·rices, jeunes ou séniors, dans les lieux d’art comme les espaces non dédiés, croisant danse, théâtre, musique, arts visuels et littérature, Thierry Thieû Niang fait de la transversalité sa matière première. Son travail avec des patient·es en gériatrie a été immortalisé dans un film salué par la critique.

Fichier vidéo

Les chevaux mènent la danse. Ils guident le cortège et donnent le tempo de cette parade composée par la compagnie La Fauve et les jeunes montreuillois·ses, transformé·es pour certain·nes en cavalier·ères. Les émotions ressenties au contact de l’animal se transposent dans les mouvements de chacun·e et une joyeuse danse commune se déploie, entremêlant cadences et gestes.

Arthur Sidoroff porte la compagnie La Fauve qui place au centre de son travail la présence durable des chevaux sur les territoires urbains et auprès de ses habitant·es. Accompagné de Johnny, son cheval complice, l’acrobate de théâtre équestre fait toujours de la place à l’inattendu, à la douceur et à l’altérité dans ses créations.

Fichier vidéo

L’Olympisme n’est pas étranger à Pierre Rigal. L’ancien athlète de haut niveau renoue avec ses premiers amours en orchestrant une parade qui associe et amplifie des gestes bien connus, empruntés à la fois aux sports comme aux danses populaires. Sous la direction de Sébastien Forrester, un groupe de musicien·nes jouent des rythmes rassembleurs qui suscitent des unissons ou des fourmillements très vivants.

Pierre Rigal est passé par les mathématiques, l’économie, le cinéma et le 400 mètres haies avant de rencontrer la danse contemporaine. Ses chorégraphies souvent endurantes, risquées et efficaces, comme un sport, n’ont de cesse de sortir des cadres en fabriquant des ponts entre les disciplines du cirque, du hip-hop en passant par l’opéra et les arts visuels.

Fichier vidéo

Les chevaux mènent la danse. Ils guident le cortège et donnent le tempo de cette parade composée par la compagnie La Fauve et les jeunes montreuillois·ses, transformé·es pour certain·nes en cavalier·ères. Les émotions ressenties au contact de l’animal se transposent dans les mouvements de chacun·e et une joyeuse danse commune se déploie, entremêlant cadences et gestes.

Arthur Sidoroff porte la compagnie La Fauve qui place au centre de son travail la présence durable des chevaux sur les territoires urbains et auprès de ses habitant·es. Accompagné de Johnny, son cheval complice, l’acrobate de théâtre équestre fait toujours de la place à l’inattendu, à la douceur et à l’altérité dans ses créations.

©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali
©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali
portrait
©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali
©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali
©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali
©️ Christophe Berlet et Valentine Perrin Morali

Comme sortie des eaux, un équipage de centaines de jeunes déferle dans une joyeuse déambulation dansée, jonglée, voguée. Au-dessus du groupe nage un poulpe géant, marionnette rugissante et animée, composée de milliers de bouteilles de plastique. Ce monstre marin nous embarque pour une épopée fantastique pulsée par les percussions de batucada.

Artiste de rue diplômé du Centre National des Arts du Cirque, Olivier Pasquet co-fonde avec des ancien·nes camarades le collectif Cheptel Aleïkoum. Depuis 2004 le groupe a porté une quinzaine de créations. Pour ce défilé, Olivier Pasquet s’entoure du clown, jongleur et philosophe Nikolaus et du musicien poly-instrumentiste Vlaïllitch Tuffa.

Fichier vidéo

Pour le défilé, Bastien Lefèvre et Clémentine Maubon, anciens athlètes aujourd'hui chorégraphes, réunissent une équipe inédite : l’Équipe de France de Danse Contemporaine. Médailles à foison, coupes géantes, drapeaux et écharpes de clubs… Les clins d’œil au monde sportif ne manquent pas dans cette séquence, où l’humour vient interroger les jeux par la danse. Habitant·es, collégien·nes et judokates, supporteur·ices et danseur·euses sont dans les starting-blocks pour un cortège haut en couleur et en ferveur !

Interprètes pour Héla Fattoumi et Éric Lamoureux, Olivier Dubois ou Thierry Thieû Niang, les deux artistes Bastien Lefèvre et Clémentine Maubon se réunissent en 2019 pour fonder leur propre compagnie qu’ils baptisent La Grive. Leurs créations sont bien souvent remplies d’humour et manipulent à loisir la plaisanterie, l’autodérision et l’absurde.

Fichier vidéo

« Broyant sous nos pieds la morosité des jours, laissons la danse prendre son envol, comme un éclat de rire. Sous le soleil, dansons ! »
C’est ainsi que Leïla Ka et Jane Fournier Dumet introduisent la Parade du tout monde. Poings fermés et coudes pliés, leurs gestes contraints performés à l’unisson par 150 jeunes de Saint-Ouen ont la puissance d’un uppercut.

Avec son premier et remarqué solo Pode Ser, Leïla Ka a conquis les scènes chorégraphiques. Au fil de ses créations, la jeune chorégraphe aux racines hip-hop a affirmé une signature qui lui est propre : une beauté brute, rageuse, intense. Interprète dans sa dernière pièce Maldonne, Jane Fournier Dumet rejoint Leïla Ka pour chorégraphier cette parade.

Fichier vidéo

Comme sortie des eaux, un équipage de centaines de jeunes déferle dans une joyeuse déambulation dansée, jonglée, voguée. Au-dessus du groupe nage un poulpe géant, marionnette rugissante et animée, composée de milliers de bouteilles de plastique. Ce monstre marin nous embarque pour une épopée fantastique pulsée par les percussions de batucada.

Artiste de rue diplômé du Centre National des Arts du Cirque, Olivier Pasquet co-fonde avec des ancien·nes camarades le collectif Cheptel Aleïkoum. Depuis 2004 le groupe a porté une quinzaine de créations. Pour ce défilé, Olivier Pasquet s’entoure du clown, jongleur et philosophe Nikolaus et du musicien poly-instrumentiste Vlaïllitch Tuffa.

portrait

Comment devenir un corps à plusieurs ? Dalila Belaza avec de jeunes sportives et danseuses de Bobigny expérimentent la question en se fondant dans une danse organique portée autant par le mouvement que par le chant. Ce geste collectif nous transporte vers les émotions puissantes ressenties dans l’art comme le sport : un sentiment à la fois de communion, de jubilation et de vertige contenu dans le mot arabe tarab.

Interprète dans les créations de sa sœur Nacera, Dalila Belaza trace un parcours de chorégraphe qui poursuit des convictions que les deux artistes partagent : l’urgence et le sens d’« être » sur un plateau de théâtre aujourd’hui. Au fil de ses projets, Dalila Belaza explore en parallèle les liens entre les danses rituelles et l’abstraction.

portrait

Franck Edmond Yao, dit Gadoukou La Star, imagine la musique, la mise en scène et la chorégraphie d’un défilé aussi fashion que sportif. Il réunit autour de lui huit danseur·ses internationaux qui – outre affoler les réseaux sociaux – forment et encadrent 150 amateur·ices : Eileen Nzup, la petite Zota, Barro Dancer, Yaps Jolito, Alaingo, Joel Tenda, Mishaa, Ordinateur Zoropoto.

Gadoukou La Star se forme au théâtre et à la danse à l’école Kingbok à Abidjan puis compose les chorégraphies de nombreuses stars ivoiriennes. Dès 2005, il entame une collaboration avec le collectif franco-allemand de la metteuse en scène Monika Gintersdorfer, qui l’a d’ailleurs accompagné pour penser ce défilé. En 2008, il sort son premier album de coupé-décalé.

Fichier vidéo

L’attention, le soin et l’empathie, ont traversé notre société lors de la crise sanitaire mais portent depuis longtemps le chorégraphe Thierry Thieû Niang qui emmène la danse dans les espaces de santé et d’accompagnement. Les jeunes en situation de handicap de l’IME ¬– Le Tremplin à Bobigny transmettent la beauté de leurs gestes aux étudiant·es en STAPS et à la classe Prépa’ Théâtre 93. Ou quand d’autres corps fabriquent d’autres danses.

En France et à l’étranger, avec des interprètes professionnel·les et amateur·rices, jeunes ou séniors, dans les lieux d’art comme les espaces non dédiés, croisant danse, théâtre, musique, arts visuels et littérature, Thierry Thieû Niang fait de la transversalité sa matière première. Son travail avec des patient·es en gériatrie a été immortalisé dans un film salué par la critique.

Fichier vidéo

Les chevaux mènent la danse. Ils guident le cortège et donnent le tempo de cette parade composée par la compagnie La Fauve et les jeunes montreuillois·ses, transformé·es pour certain·nes en cavalier·ères. Les émotions ressenties au contact de l’animal se transposent dans les mouvements de chacun·e et une joyeuse danse commune se déploie, entremêlant cadences et gestes.

Arthur Sidoroff porte la compagnie La Fauve qui place au centre de son travail la présence durable des chevaux sur les territoires urbains et auprès de ses habitant·es. Accompagné de Johnny, son cheval complice, l’acrobate de théâtre équestre fait toujours de la place à l’inattendu, à la douceur et à l’altérité dans ses créations.

Fichier vidéo

L’Olympisme n’est pas étranger à Pierre Rigal. L’ancien athlète de haut niveau renoue avec ses premiers amours en orchestrant une parade qui associe et amplifie des gestes bien connus, empruntés à la fois aux sports comme aux danses populaires. Sous la direction de Sébastien Forrester, un groupe de musicien·nes jouent des rythmes rassembleurs qui suscitent des unissons ou des fourmillements très vivants.

Pierre Rigal est passé par les mathématiques, l’économie, le cinéma et le 400 mètres haies avant de rencontrer la danse contemporaine. Ses chorégraphies souvent endurantes, risquées et efficaces, comme un sport, n’ont de cesse de sortir des cadres en fabriquant des ponts entre les disciplines du cirque, du hip-hop en passant par l’opéra et les arts visuels.

Fichier vidéo

Comme sortie des eaux, un équipage de centaines de jeunes déferle dans une joyeuse déambulation dansée, jonglée, voguée. Au-dessus du groupe nage un poulpe géant, marionnette rugissante et animée, composée de milliers de bouteilles de plastique. Ce monstre marin nous embarque pour une épopée fantastique pulsée par les percussions de batucada.

Artiste de rue diplômé du Centre National des Arts du Cirque, Olivier Pasquet co-fonde avec des ancien·nes camarades le collectif Cheptel Aleïkoum. Depuis 2004 le groupe a porté une quinzaine de créations. Pour ce défilé, Olivier Pasquet s’entoure du clown, jongleur et philosophe Nikolaus et du musicien poly-instrumentiste Vlaïllitch Tuffa.

Fichier vidéo

Pour le défilé, Bastien Lefèvre et Clémentine Maubon, anciens athlètes aujourd'hui chorégraphes, réunissent une équipe inédite : l’Équipe de France de Danse Contemporaine. Médailles à foison, coupes géantes, drapeaux et écharpes de clubs… Les clins d’œil au monde sportif ne manquent pas dans cette séquence, où l’humour vient interroger les jeux par la danse. Habitant·es, collégien·nes et judokates, supporteur·ices et danseur·euses sont dans les starting-blocks pour un cortège haut en couleur et en ferveur !

Interprètes pour Héla Fattoumi et Éric Lamoureux, Olivier Dubois ou Thierry Thieû Niang, les deux artistes Bastien Lefèvre et Clémentine Maubon se réunissent en 2019 pour fonder leur propre compagnie qu’ils baptisent La Grive. Leurs créations sont bien souvent remplies d’humour et manipulent à loisir la plaisanterie, l’autodérision et l’absurde.

Fichier vidéo

« Broyant sous nos pieds la morosité des jours, laissons la danse prendre son envol, comme un éclat de rire. Sous le soleil, dansons ! »
C’est ainsi que Leïla Ka et Jane Fournier Dumet introduisent la Parade du tout monde. Poings fermés et coudes pliés, leurs gestes contraints performés à l’unisson par 150 jeunes de Saint-Ouen ont la puissance d’un uppercut.

Avec son premier et remarqué solo Pode Ser, Leïla Ka a conquis les scènes chorégraphiques. Au fil de ses créations, la jeune chorégraphe aux racines hip-hop a affirmé une signature qui lui est propre : une beauté brute, rageuse, intense. Interprète dans sa dernière pièce Maldonne, Jane Fournier Dumet rejoint Leïla Ka pour chorégraphier cette parade.

Fichier vidéo